Comme la plupart des nouveaux immigrants, les Grenadins qui immigrent au Canada éprouvent probablement des sentiments mitigés à leur arrivée: heureux de pouvoir refaire leur vie ici, ils sont aussi tristes de quitter leur pays et de laisser derrière eux famille et amis. La plupart ont suivi des études, et avaient une bonne situation dans leur pays. Il est fort probable que certains aspects de la vie canadienne leur paraîtront étranges: l’hiver par exemple, puisqu’il ne fait jamais froid à la Grenade.

Ces nouveaux immigrants auront aussi besoin de quelques informations pratiques. Pensez aux renseignements qui vous seraient utiles si vous alliez vivre ailleurs : vous voudriez savoir comment fonctionnent les transports en commun, où trouver un médecin, un hôpital, une école, une banque, etc.

Ce qui importe surtout, c’est que vous leur offriez votre temps, votre compréhension et votre amitié. Vous découvrirez sans doute que vous avez aussi beaucoup à apprendre d’eux : l’enrichissement sera mutuel.

L’histoire et la culture de la Grenade sont très riches. Ce profil culturel ne couvre donc pas tous les aspects de la vie à la Grenade et ne donne qu’un aperçu des coutumes du pays. Soulignons également que les coutumes décrites ici ne s’appliquent pas de la même manière à tous les immigrants grenadins.
 
 

Le saviez-vous?  Julius Isaac, juge de la Cour fédérale du Canada, est originaire de la Grenade. Le musicien, arrangeur et compositeur Eddie Bullen est né à la Grenade mais vit au Canada.