Le merengue est la musique et la danse la plus
populaire en république Dominicaine. On l’entend partout et même
les jeunes enfants en connaissent les pas. La musique est interprétée
par un groupe de trois musiciens itinérants, appelé perico
ripiao, qui jouent de trois instruments : un petit tambour appelé
tambora, une sorte d’accordéon appelé melodeon
et un instrument à percussion, utilisé autrefois par les
Taïnos, appelé guira. |
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Le merengue moderne a vu le jour après
la Première Guerre mondiale : la musique était alors jouée
au piano, avec des instruments à cordes, des clarinettes et des
saxophones. Dans les années 1970, Johnny Ventura et d’autres musiciens
développèrent un nouveau son avec des instruments électroniques,
et les pas de danse devinrent plus rapides et plus libres. Aujourd’hui,
le merengue a intégré d’autres genres musicaux, comme la
salsa et le jazz. Juan Luis Guerra est sans doute l’interprète de
merengue le plus renommé sur la scène internationale. |
Le
couturier Oscar de la Renta est né en 1936 à Saint-Domingue.
Il possède une maison sur l’île. |
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La république Dominicaine a une tradition
littéraire bien établie. Les premiers colons espagnols apportèrent
avec eux la tradition littéraire romantique européenne. Au
xixe siècle, les Dominicains s’efforcèrent de créer
une forme d’écriture distincte, libre de toute influence espagnole.
C’est au cours de cette période que Manuel de Jesus Galvan (1834-1911)
publia le grand classique dominicain, Enriquillo. Ce roman raconte
la rébellion du dernier des chefs indiens, contre les conquistadors.
Il a été traduit en anglais sous le titre : The Cross and
the Sword.
Au XXe siècle, la critique
politique a continué d’être présente dans la littérature
dominicaine et beaucoup d’écrivains durent s’exiler sous le régime
Trujillo. Les présidents Juan Bosch et Joaquín Balaguer furent
tous deux des écrivains importants : le premier écrivit des
romans, des essais et des nouvelles ; le second, de la poésie ainsi
qu’une histoire de la littérature en république Dominicaine. |
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La bijouterie artisanale utilise l’ambre
et le larimar. L’ambre dominicain est considéré par
beaucoup comme le plus beau du monde ; il contient souvent des éclats
de vert, de rouge, d’orange, de bleu et de violet. Le larimar est
une roche qui ne se trouve qu’en république Dominicaine ; sa couleur
varie du bleu ciel profond au bleu vert. |
Il
existe deux types principaux de merengue : le merengue de salon (merengue
de salón), où le couple se tient dans une position de valse
et ne se sépare jamais ; et le merengue de figures (merengue de
figura), où les danseurs tournent individuellement en se tenant
par la main. |
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